Sur la tête des cyclistes du tour de France ou sur celles des bike couriers de New York, la casquette de vélo ajoute du style à qui la porte. Athlète ou pas.
Disamare, c’est une toute petite compagnie 100% Montréalaise qui s’est lancée dans la confection de ces casquettes en 2013. Chaque unité est sérigraphiée manuellement. Le fini imparfait de cette technique d’impression sur textile donne du cachet et un côté vintage.
Le design est minimaliste, mais efficace, et l’influence montréalaise se fait sentir. Centre-Sud, Hochelag, Villeray, St-Henri, Québec et Montréal sont mis en vedette sur les panels de certains modèles.
Disamare, c’est une toute petite compagnie 100% Montréalaise qui s’est lancée dans la confection de ces casquettes en 2013. Chaque unité est sérigraphiée manuellement. Le fini imparfait de cette technique d’impression sur textile donne du cachet et un côté vintage.
Le design est minimaliste, mais efficace, et l’influence montréalaise se fait sentir. Centre-Sud, Hochelag, Villeray, St-Henri, Québec et Montréal sont mis en vedette sur les panels de certains modèles.
Disamare a collaboré avec la designer Diana Le Nézet pour un modèle plus punk inspiré du visuel des tatouages de prison. Le graffiteur Nixon (qui placarde la ville de ses tags depuis plusieurs années) a quant à lui dessiné deux modèles.
La saison du fixed (et du Bixi) est loin d’être terminée, rockez votre couvre-chef.
Le tout est disponible en ligne, ICI.