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Trump utilise la FIFA pour manipuler Poutine
Crédit Getty Images

Après avoir imploré, sans succès, Poutine sur Truth Social de mettre fin à ses attaques contre l’Ukraine en pleine phase de pourparlers, Trump adopte désormais une nouvelle position farfelue, dans l’espoir de convaincre le président russe de mettre un terme à la guerre déclenchée par l’invasion de l’Ukraine en 2022.

U.S. President Donald Trump has suggested that Russia’s men’s national team being allowed into the qualification process for the 2026 World Cup could be an incentive for the country to end the war in Ukraine.

The Athletic | Football (@theathleticfc.bsky.social) 2025-05-07T14:03:30.498Z

Cette proposition étrange de la part du président des États-Unis survient alors qu’il tente, depuis plusieurs semaines, de conclure désespérément un accord de paix entre la Russie et l’Ukraine.

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Alors que la pression s’intensifie autour de l’une de ses promesses électorales, soit mettre fin à la guerre en Ukraine dès son premier jour à la Maison-Blanche, Trump avance désormais que Vladimir Poutine pourrait envisager de cesser ses attaques sanglantes si la Russie obtenait une place à la Coupe du monde de la FIFA 2026.

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Le pays avait en effet été suspendu des compétitions par la FIFA et l’UEFA après son invasion illégale de l’Ukraine en février 2022.

Alors que Donald Trump était, selon le New York Times, en discussion avec le président de la FIFA, Gianni Infantino, il se serait dit surpris d’apprendre que la Russie était exclue de la Coupe du monde et ne pourrait être réintégrée tant qu’elle ne mettrait pas fin à son agression insensée contre l’Ukraine.

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Le président des États-Unis semble chercher désespérément n’importe quel levier susceptible, selon lui, de faire fléchir Vladimir Poutine, alors que toutes les initiatives de l’administration Trump dans ce dossier se sont jusqu’à présent soldées par des échecs.

Le vice-président JD Vance a d’ailleurs reconnu que la Russie «demande trop» pour mettre fin à la guerre avec l’Ukraine.

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Une forme de frustration gagne désormais les rangs de l’administration, qui, après avoir initialement blâmé l’Ukraine au début des pourparlers, commence à admettre que Moscou pourrait porter une part plus lourde de responsabilité dans la prolongation du conflit.

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

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