Les 10 chaussures les plus détestées & les 10 les plus aimées

Sorti pour la première fois en 2002, le Crocs Classic Clog était à l’origine destiné aux plaisanciers. Cependant, sa construction mousseuse et sa facilité d’utilisation l’ont transformé en un objet de moquerie culturel. Les critiques se moquaient de son apparence, et pourtant plus de 850 millions de paires ont été vendues. 

Un icône de la fin des années 90, ce talon slip-on présente une bande noire extensible et une semelle en mousse épaisse. Sa célébrité a grimpé en flèche lorsque des célébrités comme Britney Spears et les Spice Girls les ont portés sur les tapis rouges et dans les magazines. Cependant, la sangle élastique se desserre souvent avec le temps, provoquant des chevilles vacillantes et des regrets de mode.

Avec son dessus en maille ressemblant à une chaussette et sa semelle épaisse, cela ressemblait à une tenue de gym de luxe si le style orthopédique était soudainement à la mode. Initialement vendu autour de 695$, cela a suscité des réactions mitigées. Les rédacteurs en chef de la mode l’ont loué, mais les sceptiques l’ont qualifié de pantoufles de designer.

Le KSO a fait ses débuts en 2009 et a défendu la course « pieds nus». Chaque orteil avait son emplacement, et la semelle souple encourageait le mouvement naturel. Malheureusement, des poursuites ont rapidement suivi pour des blessés réclamés. Alors que certains coureurs jurent encore par eux, d’autres pensent qu’ils ressemblent à des pantoufles amphibies directement sorties d’un plateau de science-fiction.

L’Ultra Mini est arrivé sur les étagères en 2020, raccourcissant la botte classique jadis haute. Les critiques l’ont dénigré pour sa silhouette semblable à un moignon, la qualifiant de dépourvue de formes. Néanmoins, les célébrités l’ont adopté, de Kendall Jenner à Gigi Hadid. Sa doublure en peau de mouton et sa facilité de mise font de lui un élément basal confortable.

Sorti en 2009, la Monarch IV a gagné le surnom de «chaussure de papa» pour bonne raison. Elle présentait des semelles intermédiaires épaisses et une attitude sans détours. Bien qu’elle soit rarement louée pour son apparence, elle est devenue la chaussure d’entraînement la plus vendue de Nike. Étonnamment, l’amour ironique de la mode pour les chaussures «moches» a donné un second souffle à la Monarch.

L’Adore-708 est fabriqué par Pleaser USA, qui est connu pour sa chaussure exotique et de performance. Souvent porté par des danseurs et des artistes de drag, la chaussure équilibre la théâtralité avec un confort inattendu. Bien que souvent moqué à l’extérieur des cercles de niches, il reste un symbole audacieux de la mode expressive.

Pourquoi tant de personnes sont-elles tombées amoureuses de la sneaker wedge? Le Bekett présente des sangles à scratch et une élévation cachée. Porté par Beyonce et Alicia Keys, il a floué la ligne entre le style de rue et le chic. Cependant, son volume a contredit le minimalisme moderne. 

S’élevant presque jusqu’au genou, cette botte d’avant-garde associe des panneaux en cuir à des semelles massives et des lacets dramatiques. Créée par le provocateur de la mode Rick Owens, elle commande l’attention et le rejet dans la même mesure. Les fans voient de l’art; les détracteurs voient de l’absurdité.

Lorsque Nike a fusionné le logo Supreme avec le silhouette Uptempo de 1996, la culture du sneaker est devenue folle. Le «AIR» exagéré est devenu «SUPREME », s’étendant sur les deux chaussures. Bien que sorti en quantité limitée en 2017, les prix de revente ont rapidement dépassé les 1 000 $. Ironiquement, la puissance visuelle de cette collaboration est précisément pourquoi elle est aussi controversée aujourd’hui.

Maintenant que nous avons sorti les chaussures que les gens aiment se moquer, il est temps de passer à des paires qui ont mérité un véritable amour.

L’All Star était porté par des joueurs de basketball dans les années ’20 et a été adopté par des punks et des poètes dans les années ’70. Son parcours s’étend sur plus d’un siècle. Bien qu’il soit rarement utilisé sur le terrain aujourd’hui, c’est la basket la plus vendue de tous les temps.

La Jordan 1 a fait ses débuts pendant la première année de recrue de Michael Jordan et a instantanément défia les codes de tenue de la NBA. Avec la couleur maintenant emblématique «Bred», elle a déclenché une controverse et une demande en pleine croissance. À ce jour, sa valeur de revente reste élevée. De plus, elle ancre l’industrie de la revente de chaussures d’une valeur de plusieurs milliards de dollars. 

Présenté en 1977, ce slip-on en toile a acquis un statut de culte grâce à Fast Times at Ridgemont High. Sa semelle en caoutchouc waffle la rendait idéale, tandis que le damier noir et blanc lui donnait un charme inimitable. Admettons, la durabilité n’est pas sa force, mais cela n’enlève que son charme décontracté.

L’Arizona présente des semelles en liège-latex contournées qui se mouldent aux pieds du porteur au fil du temps, offrant un soutien orthopédique que beaucoup trouver irremplaçable. Il était initialement populaire parmi les sous-cultures conscientes de la santé, mais son attrait a grandi. Notamment, des designers comme Dior et Valentino ont collaboré avec Birkenstock pour amener la sandale dans le domaine de la haute couture

Conçu avec des semelles à air et du cuir pleine fleur, la 1460 a été conçue pour l’utilité mais adoptée par les rebelles. Elle est devenue partie intégrante des sous-cultures de la jeunesse britannique dans les années 70 et 80. De plus, son style unisexe et son tranchant symbolique l’ont maintenue en production continue pendant plus de 60 ans.

Lancé à l’origine en 1985 en tant que chaussure de tennis minimaliste, le Club C 85 a résisté à l’épreuve du temps. Son cuir supérieur propre et sa palette neutre le rendent inlassablement portables. Pensez-y comme une veste en denim des baskets – polyvalent et difficile à haïr.

La 990v5 dispose de la technologie de semelle intercalaire ENCAP pour une stabilité et un amorti superieur. Ce qui est surprenant, c’est qu’elle est fabriquée à la main aux États-Unis et est l’une des rares chaussures qui combinent la mode papa et la culture hype. Par conséquent, elle est devenue un rare succès commercial apprécié par la génération Z et les retraités.

Introduite dans les années 60 mais basée sur un design du 19e siécle, la Blundstone 500 est conçue pour la durabilité et le port dans toutes les conditions météorologiques. Sa semelle en TPU et son cuir imperméable l’ont rendue essentielle aussi bien dans les milieux ruraux qu’urbains. Les fans appécient également de la sensation de confort qu’elle procure dès la sortie de la boîte.

A l’origine nommée la « Adidas Robert Haillet », cette chaussure de tennis a été rebaptisée en 1978 en l’honneur du joueur américain Stan Smith. Ses bandes perforées et son onglet de talon vert sont devenus instantanément reconnaissables. Étonnamment, Adidas a cessé la production en 2011, mais l’a relancée en 2014 après que la demande du public a augmenté à l’échelle mondiale.

Cette refonte de 2007 du classique de 1982 a gardé la semelle à air comprimé mais a amélioré la couture et la forme de la boite du orteil. Sa version entièrement blanche est particulièrement aimée, souvent appelée une « paire fraîche » qui exige un entretien irréprochable. C’est l’une des chaussures les plus vendues de Nike d’année en année.