Arnaud Soly se trouvait au talk-show de fin de semaine, Ça finit bien la semaine, où il venait discuter de son tout nouveau one-man-show, le deuxième, Bon jus.
Bien que l’on connaisse à l’humoriste un humour très sarcastique et absurde par moment, il dévoile dans ce show des moments beaucoup plus sérieux, qui parlent de sa vie personnelle, plus particulièrement de sa vie de famille, de sa paternité et des problèmes qu’il a rencontrés pour avoir des enfants, ses deux filles, avec son amoureuse.
Un sujet trop souvent tabou dans notre société, touchant l’infertilité et la procréation assistée, mais un sujet capital.
«Je parle beaucoup de mon parcours en procréation assistée, c’est quelque chose que j’ai moins partagé, parce que, bien, ç’a été des années et des années, avec ma blonde, à ne pas savoir si on allait arriver à avoir une famille. Puis, là (…) On est chanceux, je le raconte, on est du beau côté de l’histoire. On a deux filles en santé. Mais ç’a été vraiment, vraiment des années difficiles», témoigne avec vulnérabilité le père de famille.
Ainsi, il prend la plateforme de son spectacle pour aborder ce sujet délicat, et déjà plusieurs le remercient d’en discuter ouvertement, venant le voir après ses spectacles.
Il était très touchant de voir l’humoriste sous cette autre facette, plus vulnérable, qui pourra permettre probablement à certaines personnes de se reconnaître face à cette épreuve de devenir parents.
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