RFK, un ourson mort et aucun remords

Robert F. Kennedy Jr, le candidat indépendant controversé à la présidence, a admis être la personne responsable d’un événement étrange et macabre impliquant un ourson mort à Central Park qui avait laisser plusieurs perplexes et dont le mystère persiste depuis maintenant dix ans!

Dans une vidéo publiée sur X, on voit RFK Jr. en discussion avec Roseanne Barr… ça ouvrait déjà la porte à quelque chose de spectaculaire…

Robert F. Kennedy Jr. y raconte un événement de 2014 durant lequel il prétend avoir placé un ourson mort dans Central Park, simulant un accident où l’animal aurait été heurté par un vélo.

RFK Jr. a expliqué qu’il avait mis la main sur sa macabre proie en conduisait dans la vallée de l’Hudson, dans l’État de New York, alors qu’une femme qui se trouvait devant lui avait accidentellement tué l’ours.

Robert F. Kennedy Jr. a affirmé que sa décision de prendre la carcasse de l’animal au départ était due a son désir de tirer le meilleur parti de la situation et de le dépecer, pour par la suite stocker la viande dans son réfrigérateur.

Toutefois, RFK Jr. explique que son emploi du temps chargé ce jour-là l’a obligé à modifier ses plans. Il a finalement décidé d’abandonner l’ourson à Central Park, prétendant que l’animal avait été heurté par un vélo.

Il affirme également que cette idée lui est venue après une série d’accidents de vélo survenus à New York et qu’il avait un vieux vélo dans sa voiture, qu’il a utilisé pour mettre en scène ce qu’il considère comme le faux accident parfait.

RFK Jr. rapporte avoir été étonné par l’intérêt médiatique suscité le lendemain de l’incident macabre, lorsqu’une promeneuse de chien a découvert l’ourson. L’affaire a été diffusée par les principales chaînes d’information et a fait l’objet d’une enquête par le département de la conservation de l’environnement ainsi que par les forces de l’ordre.

JFK Jr. a exprimé son inquiétude à l’idée de laisser des empreintes digitales sur les lieux et était soulagé de voir l’histoire finalement s’effacer de l’attention publique… jusqu’à maintenant.