Retour sur ce procès historique en images et faits, qui aura mis en vedette toute une galerie de personnages, de Stormy Daniels à Michael Cohen, en passant par Robert De Niro.
De retour
Donald Trump revient dans la salle d’audience pour son procès pénal au tribunal de Manhattan.
Robert De Niro
Robert De Niro s’est exprimé devant le tribunal où est débattu le cas de Trump et il ne s’est pas retenu!
La famille
Donald Trump Jr., Tiffany Trump, Eric Trump et Lara Trump regardent l’ancien président américain Donald Trump s’adresser aux médias.
Un jour important
C’était un jour important à Manhattan, alors que les plaidoiries finales devaient commencer dans le procès de l’ancien président Trump.
Plus prudent
Donald Trump s’est adressé aux médias, mais s’est montré plus prudent que d’habitude.
De bonne humeur
Trump a semblé de bonne humeur alors qu’il fait face à 34 chefs d’accusation.
Trump salue la foule
Donald Trump salue la foule après une pause.
Bye Bob!
Robert De Niro s’en va après avoir parlé aux médias devant le tribunal de Manhattan.
Michael Cohen témoigne
Le témoignage de Michael Cohen est au centre de cette affaire, pour le meilleur ou pour le pire.
L’attention médiatique de Cohen
L’appartement de Cohen était entouré de journalistes et de photographes lors de son départ pour le tribunal.
Le témoin le plus attendu
Il ne fait aucun doute que Michael Cohen, l’ancien avocat de Trump lors des faits reprochés, est le témoin le plus attendu de ce procès.
Son rôle dans l'organisation des paiements
Le témoignage de Michael Cohen dans le procès impliquant l’ancien président Donald Trump a été crucial. Cohen a expliqué son rôle dans l’organisation des paiements à Stormy Daniels et Karen McDougal, orchestrés pour influencer l’élection présidentielle de 2016, sous la direction de Trump.
Sous forme d'honoraires juridiques
Il a également révélé que Trump a remboursé ces paiements sous forme d’honoraires juridiques et a décrit comment Trump manipulait la valeur de ses actifs pour des avantages financiers. Cohen a souligné les efforts de dissimulation de Trump et les pratiques douteuses de la Trump Organization.
Trump semble fatigué
Stormy Daniels avait juste auparavant terminé son témoignage marathon lors du procès de Donald Trump alors que les avocats de l’ancien président cherchent à la dépeindre comme une menteuse avide. Néanmoins, Trump semblait épuisé par le processus.
Stormy Daniels
Stormy Daniels quitte le tribunal pénal de Manhattan après avoir témoigné au procès de l’ancien président américain Donald Trump.
Pas très heureux
Donald Trump s’adresse à la presse alors qu’il retourne dans la salle d’audience après une interruption de son procès pour avoir prétendument dissimulé des paiements d’argent secrets liés à des relations extraconjugales. Il n’a pas l’air très heureux de ce qui s’est passé au tribunal ce jour-là.
Trump apparaît épuisé
À un certain point, l’ancien président commence à démontrer des signes de fatigue lors de son procès criminel, spécialement à ses sorties de la salle d’audience.
Un début de semaine difficile
C’était un début de semaine difficile au tribunal pour Donald Trump, l’ancien président ayant été reconnu coupable d’outrage au tribunal dans son procès en cours concernant les pots-de-vin versés à Stormy Daniels. Le juge a également adressé un avertissement clair concernant les actions futures de Trump, remettant sa décision écrite aux parties et suggérant une possible peine d’emprisonnement.
9 infractions
Le juge Merchan vient d’imposer une amende de 9 000 dollars, soit le maximum prévu par la loi de 1 000 dollars, pour neuf infractions commises.
La prison!
Le juge a reconnu que cette somme pouvait sembler modeste compte tenu de la richesse de Trump. Cependant, il a averti Trump qu’il pourrait être soumis à des sanctions plus sévères, telles qu’un emprisonnement jusqu’à 30 jours, s’il continuait à ignorer les directives du tribunal.
L'intégrité de la justice
Rappelons que l’ordonnance de non-divulgation (gag order) imposée à Trump dans ce dossier vise à préserver l’équité et l’intégrité de la justice. Elle empêche Trump de parler publiquement des témoins, du juge, ou des jurés impliqués dans le procès.
Les procédures judiciaires en danger
Cette mesure lui a été imposée en raison de nombreux messages publiés sur la plateforme Truth Social et sur le site de sa campagne, alors qu’il y critiquaient des acteurs clés de l’affaire, mettant ainsi en danger les perceptions du public et les procédures judiciaires.
Les réseaux sociaux
Le juge a également ordonné la suppression de plusieurs messages publiés par Trump sur les réseaux sociaux, précisant qu’il appliquerait strictement les conséquences en cas de nouveau manquement. Il a souligné que maintenir un environnement équitable pendant le procès était essentiel.
Un procès historique
Rappelons-nous, à l’aide de ces quelques faits, le début de ce procès historique. Trump fait face à 34 chefs d’accusation, notamment pour falsification de documents liés à des paiements effectués à son ancien avocat Michael Cohen. Trump a nié ces allégations, qui pourraient entraîner une peine d’emprisonnement si elles sont prouvées à l’issue de ce procès.
Une première fois
Le procès à New York a commencé le 15 avril 2024, marquant la première fois qu’un président américain, en exercice ou non, est poursuivi au criminel.
Des pots-de-vin
L’ancien président Trump est accusé d’avoir versé des pots-de-vin dans le cadre de paiements pour réduire en silence Stormy Daniels.
Jusqu’à 8 semaines
Trump doit être présent pendant toute la durée du procès, qui se déroulera quatre jours par semaine et pourrait durer huit semaines.
Sélection du jury
Le processus de sélection du jury a débuté, avec des accusations de paiements présumés à Stormy Daniels cachés comme frais juridiques.
130000$
Un paiement de 130 000 dollars orchestré par l’ancien avocat personnel de Trump, Michael Cohen, est au centre du procès.
Lois sur le financement des campagnes électorales
Les accusations portent sur une potentielle violation des lois sur le financement des campagnes électorales, l’ingérence électorale et la fraude.
34 chefs d'accusation
Donald Trump est confronté à 34 chefs d’accusation liés à la falsification de documents commerciaux.
4 ans
La peine maximale encourue en cas de condamnation est de quatre ans de prison.
Michael Cohen
Michael Cohen, ancien avocat de Trump, pourrait témoigner malgré sa condamnation pour des délits fiscaux distincts.
Stormy Daniels
Les témoignages de Stephanie Clifford (Stormy Daniels) et Karen McDougal sont également envisagés, affirmant avoir eu des liaisons avec Trump et reçu des paiements pour garder le silence pendant la campagne de 2016.
Une importance juridique majeure
Ce procès revêt une importance juridique majeure et pourrait créer des précédents significatifs dans l’histoire juridique américaine.
New York
Tous les yeux sont rivés sur New York alors que cette histoire captivante se déroule.
Le début
Le procès vient de commencer, avec la sélection du jury et les plaidoiries d’ouverture des procureurs!
Face aux médias
Trump était accompagné de son avocat, Todd Blanche, pour faire face aux médias.
Il avait d'abord nié
Trump est notamment accusé d’avoir caché des paiements à Stormy Daniels qu’il avait d’abord niés avant d’admettre par la suite qu’elle avait bien reçu une somme d’argent importante. La manière dont ces paiements ont été effectués est au coeur de l’affaire.
Face aux accusations
Trump devra aussi faire face aux accusations des procureurs concernant la falsification de documents.
Un scandale
Les procureurs affirment que ces accusations sont liées à une tentative de dissimulation d’un potentiel scandale survenu avant et après l’élection présidentielle de 2016.
Sans précédent
Ce procès criminel sans précédent, précédé par une sélection minutieuse du jury effectuée par la défense, suscite un vif intérêt des médias, les Américains et le monde!
Les élections de 2016
Les procureurs soutiennent que Trump a pris part à une réunion dans le but de falsifier des documents légaux.
La défense
Dans ses plaidoiries d’ouverture, la défense affirme que toutes les actions entreprises dans cette affaire ont été menées légalement, selon leur point de vue.