Terrifiée, Stormy Daniels portait une veste pare-balles au procès criminel de Donald Trump
Gabrielle PelletierLors d’une entrevue avec Anderson Cooper sur CNN, on a précisé les craintes de Stormy Daniels, qui a eu peur pour sa vie et portait un gilet pare-balles.
Des détails explicites
Stormy Daniels, l’actrice de films pour adultes et ex-maîtresse de Donald Trump pour un court laps de temps, a partagé des détails explicites sur ses interactions intimes avec l’ancien président lors de ses deux jours consécutifs de témoignage, au procès criminel de l’ancien président américain.
Une sécurité accrue
On apprend maintenant que pour des préoccupations sécuritaires, elle bénéficiait d’une sécurité accrue et portait même un gilet pare-balles en marge de son témoignage!
De profondes inquiétudes
Clark Brewster, l’avocat de Daniels, a manifesté de profondes inquiétudes quant à la sécurité de sa cliente lors de son déplacement à New York pour le procès de l’ancien président américain.
Le danger potentiel
Lors d’une entrevue avec Anderson Cooper sur CNN, Brewster a précisé que les craintes de Stormy Daniels n’étaient pas dues à la peur de témoigner, mais étaient plutôt motivées par le danger potentiel posé par certains partisans extrémistes de l’ex-président.
Son arrivée au tribunal
Selon l’avocat, sa cliente aurait porté un gilet pare-balles tous les jours jusqu’à son arrivée au tribunal, ce qui souligne le niveau de menace qu’elle percevait. En plus de fournir de nombreux détails sur ses interactions intimes avec l’accusé, Stormy Daniels a clairement exprimé son aversion pour Trump lors de son témoignage.
Influencer le résultat de l'élection
Rappelons que Trump est accusé d’avoir falsifié des transactions financières, notamment dans le but allégué d’influencer le résultat de l’élection présidentielle de 2016.
Dissimuler des informations
Trump aurait demandé à son avocat, Michael Cohen, de verser 130 000 dollars à l’actrice de films pour adultes afin de dissimuler des informations concernant leur relation.
De fausses entrées
Ce paiement aurait été effectué par le biais de fausses entrées dans ses registres commerciaux, au cours de l’année 2017.
34 accusations
Donald Trump a rejeté les 34 accusations de falsification de documents, affirmant à plusieurs reprises que l’affaire est de nature politique.