VOYEZ : Quand Charlize Theron porte fièrement un chandail de la montréalaise PONY.
«En novembre dernier, j'ai présenté ma collection Lonely, doublée de la création d'une vitrine de Noël chez Lowell. L'année suivant la réalisation de ma première installation au Centre Phi en février 2016 a été parsemée de défis, principalement le décollement de ma rétine (WORST CHOSE) puis une période de convalescence qui s'en est découlée. Après CLAIREMENT TROP DE TEMPS TOUTE SEULE CHEZ MOI À RÉFLÉCHIR À MA VIE, ce qui en est ressorti c'est Lonely. Un projet d'espoir nourri par un printemps de solitude.
Les caméras de Stukely ont suivi ce processus de très près et ont réalisé un court making-of qui exprime merveilleusement bien le concept collectif derrière Lonely pis la vibe de Pony en général.
Je crois qu'adulte, on recherche le réconfort parental. Celui d'un temps ou notre vulnérabilité était mieux accueilli. Ce gros pen jaune, c'est un personnage que je me suis créé en guise de réconfort. Pour moi, pis pour tout le monde qui en a de besoin.»